tag:blogger.com,1999:blog-33889351.post4168359433548889539..comments2023-05-11T16:10:32.122+02:00Comments on Zythom: Une histoire simple et banale 5e partieZythomhttp://www.blogger.com/profile/06041825031963205622noreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-33889351.post-66939083686541374372011-09-19T23:57:36.193+02:002011-09-19T23:57:36.193+02:00Effectivement, cette affaire est peut-être une sor...Effectivement, cette affaire est peut-être une sorte de "Patent Troll" dont la particularité originale est de s'attaquer à ses propres clients plutôt qu'à ses concurrents !Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-33889351.post-43460425573117521542011-09-17T12:45:53.558+02:002011-09-17T12:45:53.558+02:00Une question que je me pose: pourquoi faire vous-m...Une question que je me pose: pourquoi faire vous-même ?<br />Pour des questions juridiques ou pour maîtriser ?<br /><br />Autre point: pourquoi la société éditrice n'a pas inclus de clé de licence. On pourrait considérer que celà fait partie des Règles de l'Art...beldechenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-33889351.post-23168133829059494662011-09-13T14:00:40.077+02:002011-09-13T14:00:40.077+02:00Toujours un plaisir de vous lire.
Ca ferait un sa...Toujours un plaisir de vous lire. <br />Ca ferait un sacré bon bouquin tout ca...<br /><br />Pour compléter les commentaires, on parle ici de Patent Troll.<br /><br />Un lien vers Wikipedia sera bien plus explicite : http://fr.wikipedia.org/wiki/Patent_trollAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-33889351.post-14343493104355159032011-09-12T21:03:28.186+02:002011-09-12T21:03:28.186+02:00Oui je suis d'accord avec le premier commentai...Oui je suis d'accord avec le premier commentaire.<br /><br />Intéressante cette partie technique qui à l'air de se dérouler plutôt bien. On a presque l'impression que l'ingénieur perd de vue ce qui en jeu pour se noyer dans les détails. Cela dit je suppose aussi que votre rôle d'expert et votre expérience vous permet d'oublier ces petits commentaires persuasifs.<br /><br />Très bonne analyse sur le "toujours prévoir le pire". C'est là aussi que l'expérience joue dans une boîte.<br /><br />Le monde est moche tout de même...<br />Je suppose que souvent ce refrein doit teinter vos affaires.<br /><br />La partie techique n'arrive qu'à la 5ème partie de l'histoire, dingue (mais logique).<br /><br />A propos des captures: cela n'a aucune valeur juridique non ?<br />Est-ce pour justifier votre travail et expliquer la procédure utilisée ou y a t'il un autre but ?<br /><br />J'ai hâte de connaître la suite.<br />Comment le rapport final va répondre au questions initiales ?<br />C'est de la pure spéculation mais vu que l'histoire est assez bien détaillée voici mon avis:<br /><br />"oui les utilisateurs étaient niveau 2 dans la base mais n'avaient pas accès aux fonctionnalités admin" ou alors "<br /><br />- convoquer les parties et entendre tous sachants: ok cela à été fait<br /><br />- dire si le logiciel PGI était installé par la société de service CORRINO en conformité avec les licences concédées par l'éditeur de PGI<br />Bon apparemment la notion temporelle est importante pour répondre à cette question. Quid de la chronologie ?<br />Je dirais que la réponse est non: logiciel non en conformité.<br />Cela dit remarques (arguments pour les avocats):<br /> ->mise en conformité immédiate<br /> ->aucune différence pour les users<br /><br />- si non, établir les responsabilités des sociétés ARRAKIS et CORRINO<br />Difficile à dire...<br />C'est la question essentielle à mes yeux.<br />Il semblerait que la société ARRAKIS à un service informatique très compétent qui à été réactif et coopératif. ARRAKIS s'est "reposée" sur le travail de la société CORRINO. ARRAKIS à accepté le travail réalisé par CORRINO. Peut-on lui reprocher de ne pas avoir commandé un audit ? Je pense que non mais ils le regrettent probablement.<br />CORRINO semble avoir respecté les procédures de migration. Certes l'état final de la table des users n'est pas correct mais c'est la procédure de migration fournie par PGI qui veut ca et les users ne pouvaient pas exploiter les fonctionnalités avancées.<br />On pourrait pousser le bouchon encore plus loin cher Anonyme (cf 1er commentaire): la procédure de migration n'a t'elle pas été pensé pour attaquer en justice par la suite. De même c'est un peu fort, mais pas impossible.<br /><br /> - estimer les préjudices<br />Je me lance : 0€<br /><br /> - donner tout élément utile à la manifestation de la vérité.<br />Le diable se cache dans les détails mais je pense que l'essentiel à été abordé précédemment.<br /><br /><br />At last: je crois que ces sociétés qui ne vivent que en faisant des procès à un nom mais je n'arrive pas à le retrouver.TiTihttps://www.blogger.com/profile/17416735660527371203noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-33889351.post-8639995794373785052011-09-12T17:16:20.756+02:002011-09-12T17:16:20.756+02:00Chacune des 3 parties concernées à l'air d'...Chacune des 3 parties concernées à l'air d'être à la fois sincère et dans son bon droit.<br /><br />Bref, avant d'évaluer les préjudices, je pense qu'il s'agit d'abord de déterminer ce qui a été fait avec "préméditation" (à savoir en connaissance des droits et autorisations non respectés), et ce qui a été fait par erreur ou par commodité ; par exemple paramétrer le niveau 1 sur des postes autres que ceux des utilisateurs dits "avancés", ce qui pourrait peut-être être expliqué par l'utilisations momentanée de ces postes par ces fameux utilisateurs "avancés"...<br /><br />Cela ne vient bien sûr pas annuler les clauses du contrat initial (ex. nombre précis de licences pour le niveau 1 achetées).<br /><br />Par ailleurs, effectivement, l'historique vient montré que l'utilisation du niveau 1 n'a eu lieu que de façon limitée et par les utilisateurs habilités à le faire (les 2 licences "niveau 1" achetées par ARRAKIS).<br /><br />En fait, d'après ce que je comprends, la société éditrice de PGI (anciennement ERP) réclame donc plus un dédommagement pour une potentialité d'avoir pu utiliser le niveau 1 par d'autres personnes autres que les 2 habilitées à le faire ! (puisque vous êtes arrivé à constater une utilisation limitée du niveau 1 dans le temps, et à quelques accès)… le préjudice réel est donc limité et surtout "potentiel".<br /><br />J'ai bon jusque là?…<br /><br /><br />Mon esprit retors m'incite à penser que la sté éditrice de PGI a du aussi constater cette utilisation limitée puisqu'elle s'est fait parvenir la table (et sûrement l'historique)… De là à penser que la sté éditrice de PGI connaît bien cette potentielle erreur de paramétrage (ou faute), il n'y a qu'un pas que je fais aisément !<br /><br />Mon esprit très retors m'incite aussi à penser que si il est si facile de faire des erreurs (ou des fautes) de paramétrages sur les niveaux, la sté PGI le sait forcément et pourrait facilement contrôler cette fonctionnalité…<br /><br />Mon esprit très très retors m'incite donc à penser que cette potentialité d'erreur (ou faute) est finalement aussi une potentielle poire juteuse, même si du point de vue du droit les choses ne sont pas forcément appréciées comme ça…<br /><br />Mon raisonnement devient un peu tordu mais plausible. Il est d'autant plus plausible qu'il vient confirmer une anecdote que j'ai vécu, et que je vous raconte brièvement :<br /><br />Il y a qq années je travaillais pour un groupe industriel français dans la fabrication et la vente de composants électroniques. Un chef de service R&D affirmait que les innovations faites par le service R&D étaient très mal protégées contre le piratage, la copie, etc. En clair, l'entreprise ne disposait pas de logiciel performant de gestion et de suivi des brevets, et ne cherchait pas forcément à vérifier si telle ou telle innovation avait été copié par la concurrence. <br /><br />Lors d'une réunion il avait expliqué que les entreprises françaises en général, et celle pour laquelle il travaillait en particulier, perdaient probablement beaucoup d'argent à ne pas protéger efficacement leurs propriétés industrielles, et surtout à ne pas contrôler systématiquement si la concurrence reprenait ces innovations, et de préciser qu'à l'inverse les entreprises américaines gagnaient plus d'argent par les recours en justice pour se faire payer des royalties par les concurrents qui avaient copié (même de loin) une technologie protégée. <br />En clair, il sous entendait que la véritable activité de certaines entreprises américaines étaient de faire breveté des innovations et ensuite, non pas de vendre les licences d'exploitation, mais de vérifier tous les produits des concurrents et voir si il y avait moyen de réclamer des royalties par voie de justice.<br /><br />Votre affaire me fait un peu penser à cela.Anonymousnoreply@blogger.com